Nos sourires
Chirurgie Orthognatique

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Fatiha B.

Un cas de béance chirurgicale

BF s’est présentée en consultation d’orthodontie avec pour motif de consultation sa béance. L’examen clinique et radiologique a révélé une béance liée à son schéma squelettique et à la succion du pouce, une forte étroitesse de la mâchoire du haut, un menton et une mâchoire du bas très fuyants. Au niveau dentaire, on observait une courbe du sourire inversée et un surplomb de 6mm. Le plan de traitement simplifié a été le suivant : une disjonction maxillaire chirurgicale suivie d’un traitement de lingual mixte, et dans un deuxième temps une intervention chirurgicale d’avancement et de rotation antihoraire de la mandibule.

La durée de traitement fut de 26 mois. Des fils de contentions rigides ont été disposés en haut et en bas de canine à canine sur les surfaces linguales. Des gouttières de contention de sécurité ont également été réalisées.

Emy B.

Un cas de déviation de ligne médiane maxillaire

EB s’est présentée en consultation car elle n’aimait pas sa ligne médiane maxillaire déviée à gauche. L’examen clinique et radiologique a révélé l’absence de deux prémolaires en haut à gauche et d’une prémolaire en haut à droite, d’où la déviation de sa ligne médiane maxillaire. Elle a aussi révélé l’absence de deux prémolaires mandibulaires, et la quasi inclusion de ses prémolaires mandibulaires. Cette condition avait été générée par un précédent traitement. On lui a également fait remarquer que son menton était fuyant. Après lui avoir montré quelques cas d’autres patients ayant bénéficié d’une génioplastie et d’une symétrisation d’arcade, la patiente décida de suivre le plan de traitement suivant : un traitement de lingual total associé à une génioplastie, avec ouverture d’un espace prothétique pour la prémolaire maxillaire gauche n°14, permettant ainsi de recentrer son milieu maxillaire sur son visage. Sur les photos d’illustration , vous remarquerez que l’espace de la prémolaire n’a pas encore été comblé, et qu’il est sous-dimensionné. En effet, il n’est pas tout à fait possible de pouvoir recréer un espace idéal, néanmoins il est toujours possible prothétiquement de venir compenser ce manque de place et c’est ce qui a été prévu avec son dentiste. La patiente avait été prévenue avant de démarrer le traitement, mais de toute façon on savait que ça ne posait pas de problème.

La durée de traitement a été de 24 mois. Des fils de contentions rigides ont été disposés en haut et en bas de canine à canine sur les surfaces linguales. Des gouttières de contention de sécurité ont également été réalisées.

Jade G.

J’ai une asymétrie mandibulaire

JG s’est présentée en consultation avec pour motif son asymétrie mandibulaire ainsi que ses défauts d’alignement dentaires. L’examen clinique et radiologique a révélé une hypercondylie gauche et une forte rétrusion mandibulaire. Le plan de traitement retenu fut le suivant : après confirmation de la hypercondylie avec une scintigraphie osseuse, une condylectomie a été réalisée à gauche. Quatre mois après cette intervention, un traitement de lingual mixte a été mis en place, et 12 mois après le début du traitement, une chirurgie d’avancement mandibulaire de réaxation du maxillaire et une génioplastie ont été réalisées. On remarquera que la symétrie n’est pas parfaite car seule la chirurgie basale a été réalisée. Pour un résultat parfaitement symétrique, une chirurgie des contours osseux aurait dû être faite dans un second temps, mais comme le plus souvent la patiente était déjà très satisfaite de l’amélioration obtenue.

En fin de traitement, des fils de contentions rigides ont été disposés en haut et en bas de canine à canine sur les surfaces linguales. Des gouttières de contention de sécurité ont également été réalisées.

Maxime K.

J’ai une forte asymétrie

KM s’est présenté en consultation avec pour motif sa mâchoire du bas très déviée, sa canine supérieure droite en position linguale et de manière plus générale la globalité de ses chevauchements.

L’examen clinique et radiologique est venu vient confirmer son motif de consultation et le plan de traitement retenu a été le suivant : un traitement de lingual mixte associé à une chirurgie d’avancement mandibulaire et d’expansion maxillaire. Le patient a été prévenu en amont que dans les cas d’asymétrie mandibulaire, il y avait deux composantes : une composante basale qui peut être corrigée par une chirurgie de recentrage, et une composante qui concerne les contours osseux qui elle ne peut se corriger que par une chirurgie des contours, qui ne peut se faire que dans un second temps. Nous lui avons également signifié qu’il était rare que la chirurgie des contours semble encore nécessaire au patient après la chirurgie basale, car l’amélioration liée à la chirurgie basale est très significative. Aussi, vous remarquerez sur les photos de fin qu’un reliquat d’asymétrie persiste. Il s’agit bien de la symétrie des contours osseux.

La durée du traitement a été de 24 mois. Des fils de contentions rigides ont été disposés en haut et en bas de canine à canine sur les surfaces linguales. Des gouttières de contention de sécurité ont également été réalisées.

Mélanie LF.

J’ai les dents du haut trop en avant et la mâchoire en retrait (Classe II, 1)

ML s’est présentée en consult avec pour motif ses dents du haut très en avant, sa mâchoire du bas en retrait et sa lèvre du bas qui s’ourlait. L’examen clinique et radiologique a révélé en effet une forte rétrusion mandibulaire, associée à un bouton mentonnier peu développé et à un recouvrement important. Le plan de traitement simplifié a été le suivant : un traitement de lingual mixte associé à une chirurgie de la mâchoire d’avancement mandibulaire, plus une génioplastie d’avancement.

Après 24 mois de traitement, des fils de contentions rigides ont été disposés en haut et en bas de canine à canine sur les surfaces linguales. Des gouttières de contention de sécurité ont également été réalisées.

Julia O.

J’ai un sourire gingival

OJ s’est présentée en consultation d’orthodontie avec pour motif son sourire gingival et ses défauts d’alignement. L’examen clinique et radiologique a révélé un excès de croissance vertical de son maxillaire, légèrement plus marqué à droite qu’à gauche, avec une mandibule déviée à gauche ainsi qu’une asymétrie de fonctionnement des muscles releveurs des lèvres. Elle ne présentait pas d’excès gingival, donc aucune indication de gingivectomie, et elle ne présentait pas non plus une lèvre supérieure courte.

Le traitement retenu a donc été un traitement de lingual mixte avec impaction maxillaire et recentrage mandibulaire. Des fils de contentions rigides ont été disposés en haut et en bas de canine à canine sur les surfaces linguales. Des gouttières de contention de sécurité ont également été réalisées.

Camille P.

Je n’arrive pas à croquer sur mes dents de devant

PC s’est présentée en consul d’orthodontie avec pour motif son menton fuyant, et son impossibilité de croquer sur ses dents de devant.

Le diagnostic révéla une occlusion de Classe II de 4mm, une absence de recouvrement, une étroitesse de la mâchoire du haut ainsi qu’un schéma squelettique de Classe II hyperdivergent. Le plan de traitement retenu fut le suivant : une expansion palatine non chirurgicale associée à des bagues externes – mais elles auraient pu être internes – et à une chirurgie d’avancement mandibulaire de rotation antihoraire, ainsi qu’à une génioplastie d’avancement pendant le même temps chirurgical. Le traitement a duré 26 mois. Des fils de contentions rigides ont été disposés en haut et en bas de canine à canine sur les surfaces linguales. Des gouttières de contention de sécurité ont également été réalisées.

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